Pulse – L’UDPA demande une prise en compte par la Direction des réelles préoccupations des salariés !

La direction voudrait nous faire croire que la préoccupation des salariés concerne la simplification,  alors que 25 % des verbatims reflètent leurs attentes en termes de salaire.

La communication faite par la Direction sur les résultats du dernier Pulse parle de « résultats, globalement en retrait par rapport au Pulse de mars » qui montreraient « qu’il reste encore du chemin à parcourir en particulier sur le chemin de la simplification».

A l’UPDA, nous avons passé quelques soirées à éplucher les verbatims de l’enquête auxquels nous avons pu avoir accès, uniquement sur les périmètres des Fonctions centrales et AIP ERPI (8 724 salariés, soit 87% du personnel administratif) !

Contrairement à ce qui est dit dans la communication de la Direction, la vision des verbatims est constructive, mais souvent négative, et elle corrobore bien les retours que l’UDPA reçoit des salariés.

Sur les 3688 verbatims communiqués, 1128 (30% environ) expriment la nécessité d’une revalorisation des salaires afin qu’ils soient en adéquation avec l’inflation et le marché.

D’autres préoccupations sont abordées dans les verbatims dont :

-le constat d’une discrimination (discrète mais réelle) en fonction de l’âge,

la nécessité de mettre en place des mesures pour améliorer l’équilibre vie professionnelle/vie personnelle. Pour nombre de salariés, la croissance d’AXA France engendre une augmentation de la charge de travail pour les équipes et un stress plus fort d’année en année, alors que les moyens humains pour absorber cette augmentation ne suivent pas le même rythme.

Le versement des AI doit selon l’UDPA mettre l’accent sur les salariés non augmentés depuis plus de 3 ans.

L’UDPA revendique l’ouverture de nouvelles négociations sur les salaires d’ici l’été et la mise en place d’une clause de revoyure

Des élus de l’UDPA ont participé aux côtés de l’UNSA aux manifestations contre le projet réforme des retraites.

Ce projet de réforme nous concerne tous ! Et il est injuste !

Injuste pour ceux qui ont commencé a travailler tôt.

Injuste pour ceux qui ont un emploi « pénible ». Les 4 critères de pénibilité supprimés en 2017 (charges lourdes, vibrations mécaniques, postures pénibles et risques chimiques) ne sont toujours pas réintégrés dans le compte professionnel de prévention (C2P).

Pour l’UNSA, la pénibilité touchant tous les travailleurs, sa prise en compte doit également concerner les agents de la fonction publique.

Injuste au plan de l’égalité Hommes / Femmes. Ce projet ne comporte aucune mesure sur l’égalité qui participerait à la réduction des inégalités de salaires et donc de cotisations et de pensions une fois à la retraite.

Injuste car les efforts ne pèsent que sur les salariés. Il y a actuellement de nombreux allégements ou suppressions de cotisations pour les entreprises qui n’ont pas fait la preuve de leur efficacité en termes d’emplois ou d’investissements et un tri doit être fait.  On ne peut pas continuer à faire les poches de la protection sociale des salariés puis leur demander de travailler plus longtemps pour compenser !

Injuste vis-à-vis de l’emploi des séniors. L’index séniors envisagé était insuffisant car non contraignant. Les mesures d’âge vont générer des économies sur les retraites, mais vont induire des dépenses supplémentaires de chômage et d’invalidité.

L’UDPA poursuit la mobilisation.

Nathalie Pacitti-Diaz 

Elue CSE ASC

Miroir, mon beau miroir : Illustration par « les séniors sur la touche »

AXA France, à quand une réelle ambition pour les séniors ? 

Inclusion,  Mobilité professionnelle, Dynamisez votre parcours, comment valoriser la place des plus de 50 ans en entreprise ? Ce sont des crédo de la Direction d’AXA, pourtant la situation des séniors interroge …

L’UDPA constate que pour la Direction, l’âge est un frein réel à la mobilité.

L’expert qui accompagne les élus du Comité Economique et Social Central montre qu’entre 2018 et 2021, les indicateurs de mobilité se dégradent très nettement à partir de 45  ans.

Avec l’allongement de la vie professionnelle, ce constat est préoccupant. Pour l’UDPA, seul un accompagnement individualisé des salariés par un renforcement des moyens et équipes RH permettra de répondre à cet enjeu.

L’UDPA demande à la Direction un plan d’action envers les plus de 45 ans comme évoqué par Thomas Buberl en direct du Forum Économique Mondial le vendredi 20 janvier.

Taux de promotion sur la période en fonction de l’âge Taux de changement de fonction sur la période en fonction de l’âge (hors promotion)

L’UDPA est solidaire du soutien d’AXA à la Turquie et à la Syrie

 

« Mes sincères condoléances aux victimes du terrible tremblement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie. Je suis sûr que vous vous joindrez tous à moi pour envoyer nos pensées et notre solidarité à nos collègues, à nos clients et aux habitants de Turquie et de Syrie en ces temps difficiles.
Yavuz Olken, CEO d’AXA Sigorta, et toutes les équipes AXA en Turquie sont mobilisés pour accompagner leurs clients et contribuer aux efforts humanitaires d’urgence ».
Thomas Buberl, Directeur Général du Groupe AXA.

 AXA reversera 2 000 000 € pour soutenir la Croix Rouge (Français Croix-Rouge). Le don contribuera aux actions de la Croix-Rouge Français en faveur des populations turques et syriennes touchées par le tremblement de terre des deux côtés de la frontière, soit directement, soit par l’intermédiaire de la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), du Croissant-Rouge turc ou du Croissant-Rouge syrien. Les équipes de la FICR ont été déployées sur le terrain pour évaluer les besoins, fournir des abris, distribuer de la nourriture et des produits essentiels et prendre soin des blessés.

 Vous pouvez également faire un don personnel à la FICR si vous le souhaitez. FAITES UN DON ICI   

Pour envoyer un message pour exprimer votre soutien aux équipes locales, partagez votre commentaire ICI    

L’odyssée de l’espace : De nouvelles réflexions immobilières à AXA France

De nouvelles économies de mètres carrés à l’étude sur des sites considérés comme pérenne selon l’accord GPEC.

Axa France est-il sommé par le groupe d’économiser sur les frais généraux au détriment de la Qualité de Vie au Travail de ses salariés ? 

Présentée comme une simple revue des baux immobiliers, cette présentation d’AXA France au CSE Central a pris de court les élus.

Des réflexions sont en cours sur la  restitution de mètres carrés au  T8, T9, Marseille, Isneauville et Val de Fontenay qui seraient permises par le passage sur tous les sites à un ratio de partage de 5 postes pour 10 personnes. Ce que l’UDPA refuse.

L’UDPA a demandé qu’une communication rapide vers les salariés soit faite, afin d’éviter l’anxiété, en particulier pour les salariés de Val de Fontenay qui ont souvent réalisés un choix de vie au détriment d’un choix de parcours professionnel.

L’UDPA demande l’étude réalisée par la direction pour le transfert des salariés de Val de Fontenay vers le site des Terrasses. Si le projet se concrétise, il devra faire l’objet d’une négociation d’accord à part entière ! Ce projet remettrait en cause les accords sur la Qualité de Vie au Travail, le Télétravail, la GPEC et le mode Agile.

 

 

Début de mandature houleuse pour les salariés,

malmenés par une CFDT qui attaque entre autres les actions de l’UDPA à travers la signature de l’accord salarial : ça suffit les mensonges !

Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Depuis des dizaines d’années, jamais une augmentation générale pour toutes les classes n’avait été négociée chez AXA France ! Dans la situation exceptionnelle actuelle, une prime exceptionnelle a été octroyée pour une très grande partie des salariés.

L’UDPA assume sa signature et poursuit ses actions. Refuser de signer l’accord salarial de décembre 2022 aurait mené à une impasse pour les salariés et la CFDT le sait parfaitement.

Les « dénigreurs » oublient quant à eux qu’ils ont systématiquement signé les accords précédents, alors que bien moins intéressants !

Pourquoi ce contexte actuel de critiques ouvertes? La CFDT est sanctionnée par ses pairs, c’est uniquement pour des raisons de confiance et de moralité que la CFDT est isolée. L’UDPA le déplore d’autant que les contextes internes comme externes appellent à l’unité.

Les faits remontent à avril 2022 et si à cette époque les dirigeants de la CFDT AXA France, visés par des faits et écrits diffamants, homophobes et sexistes, confirmés par une  enquête interne AXA, avaient pris leurs responsabilités, la situation serait aujourd’hui bien différente.

Dorénavant, les choses étant dites, pour l’UDPA, le sujet est clos.

Notre engagement envers les salariés demeure plus que jamais.

 

Marie-Laure Marchand 

Coordinatrice UDPA

Retraites : signez la pétition pour le retrait de la réforme !

L’UDPA UNSA et l’intersyndicale nationale appellent les salariés et l’ensemble des citoyens à signer la pétition contre le projet de réforme injuste et brutal du gouvernement.
Report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, accélération de l’augmentation de la durée de cotisation, refusons cette double peine !

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt ainsi que les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, ou encore ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de ceux qui ne disposent plus d’un emploi avant leur retraite et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Le système de retraites par répartition n’est pas en danger. Rien ne justifie une réforme aussi brutale. D’autres solutions sont possibles.

Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »

 

Votez du 12 au 17 janvier 2023 pour élire vos représentants à la commission de concertation de l’inspection Agents Généraux, Courtage et Inspection Technique.

La commission de concertation est la réunion privilégiée pour aborder avec la Direction les métiers, les rémunérations, l’enveloppe de frais professionnels ainsi que la stratégie de l’activité commerciale, concernant les inspecteurs.

  • A mi-année, vos représentants de l’UDPA sauront intervenir pour minorer au besoin les projections de taux d’atteinte.
  • L’UDPA prône l’autonomie de l’Inspection, et s’insurge contre les remontées de tableaux excessifs.
  • Sur la démarche « Agiles Ensemble », l’UDPA est avant tout soucieuse du risque d’intensification du travail en mode hybride et des risques psychosociaux.

Le Bon de Financement Syndical ou comment donner à l’UDPA les moyens de mener ses actions

visant à défendre votre emploi, vos conditions de travail, votre pouvoir d’achat et à conserver  l’indépendance de ton de ses publications.

Du lundi 9  janvier 2023 au samedi 19 février 2023, Attribuez à l’UDPA votre bon de financement !

 

Petit rappel : le Bon de Financement Syndical (BFS), ou « chèque syndical », a été mis en place chez AXA dès 1990 par Claude Bébéar, pour constituer un mode de financement original mettant le salarié au cœur du dispositif. La Direction attribue à chaque salarié un bon de financement d’un montant de 55,70 € qu’il lui appartient alors de remettre à l’organisation syndicale de son choix.

Le Bon de Financement Syndical représente une part significative du financement de l’UDPA.

En effet, l’UDPA ne bénéficiant d’aucun financement de l’Etat ou d’une Centrale Syndicale, les chèques syndicaux constituent, avec les adhésions des salariés, ses seules sources de revenus.

On vous rassure, c’est un budget spécifique qui n’impute pas les moyens de l’entreprise tant sur l’activité opérationnelle que sur les frais généraux (y compris vos salaires !).

 

Comment remettre le bon à l’UDPA ?
Mettre votre bon de financement syndical sous enveloppe à l’ordre de l’UDPA et la poster
Le déposer dans la boite aux lettres de l’UDPA.
Le donner en main propre à votre délégué(e) UDPA préféré(e).

Un nombre significatif de salariés vont être impactés par le report de la décision de la CFDT, majoritaire sur le CSE AXA Santé et Collectives, sur l’adhésion au principe de mutualisation du budget des activités sociales et culturelles au niveau du Comité Inter Etablissement (CNI).

Concrètement, cela signifie  qu’environ 1300 salariés ne savent pas s’ils vont continuer à bénéficier des prestations du CNI.

Ils sont suspendus à une  décision politique de ce syndicat qui nous prouve que l’intérêt des salariés n’est pas sa priorité !

La période de remise des bons de financement syndicaux arrive à partir du 9 janvier. L’UDPA a toujours œuvré uniquement dans l’intérêt des salariés et n’a jamais mis ses intérêts dans la balance.

Pensez-y lors de la remise de votre bon, c’est notre principale source de financement qui nous permettra de poursuivre notre action.

Pierre Clerc 

Membre du CSE AIP ERPI