Accord sur les droits des aidants familiaux à AXA France

Un peu d’aide pour les aidants !

Consciente de l’importance du sujet, l’UDPA avait revendiqué l’ouverture d’une négociation concernant les aidants familiaux. Nous sommes signataires du nouvel accord qui prendra effet le 1er janvier 2021 !

  • Les aidants ont besoin de temps : cet accord permettra pour les salariés aidants une plus grande souplesse dans l’organisation du télétravail, des demi-journées d’absences supplémentaires (jusqu’à 8), des aménagements possibles des plages fixes, un accès au temps partiel pour besoins familiaux et l’organisation du don de jours de congés avec abondement de l’employeur.
  • Les aidants ont besoin d’informations pour réaliser des démarches administratives complexes : un guide sera élaboré permettant de connaître l’ensemble des dispositifs au premier trimestre 2021.
  • Les aidants ont besoin de reconnaissance : l’accord prévoit un plan de communication avec des sessions de sensibilisation managers, partenaires RH et assistantes sociales.

Transition activité retraite à AXA France

Prolongation d’un accord qui a fait ses preuves

La persévérance de l’UDPA a permis d’obtenir la prolongation de l’accord Transition Activité Retraite (TAR) qui a fait ses preuves en accueillant 644 salariés d’AXA France. L’UDPA a obtenu de la Direction les engagements suivants pour ce renouvellement :

  • Risque législatif assumé par l’entreprise sans rompre le contrat de travail en cas de recul de l’âge de la retraite à taux plein ou sa disparition au profit d’un âge pivot. L’observation des situations individuelles advenues depuis 2014 (Lois Fillon 1 et 2, relevé de carrière erroné…) correspond à une gestion intelligente via l’allongement de la période de Congé Transition Retraite plutôt qu’un retour dans l’entreprise pour reprendre une activité à plein temps ; la Direction s’est engagée à continuer.
  • Souplesse par rapport au délai de prévenance (2 mois non cadre et 3 mois cadre) pour toutes les demandes à effectuer dans les 3 mois précédant ou suivant la signature de l’accord.

Un plan de communication aux salariés dès la signature de l’accord.

Pendant une année supplémentaire du 1er janvier au 1er décembre 2021, les salariés d’AXA France pourront rentrer dans les six formules de l’accord TAR et une date de sortie à la retraite à taux plein :

 

Enquête sur la qualité de vie au travail

Télétravail plébiscité, mais le stress est toujours présent

Les résultats 2020 de l’enquête Qualité de vie au travail qui a lieu tous les 3 ans ont été présentés au CSEC de novembre. Des résultats à prendre avec précaution du fait de la situation particulière dans laquelle a été fait l’enquête, au sortir du premier confinement.

Premier constat, malgré une amélioration, le stress reste très présent.

30 % des salariés qui se déclarent très stressés (niveaux 8 à 10), mais selon la médecine du travail, le niveau d’alerte se situe à 7, à partir duquel il faut s’interroger davantage.

On constate que 51 % des salariés se situent au niveau ou au-dessus du seuil d’alerte.

 

Les causes du stress, en 2017, c’était d’abord le manque d’agilité organisationnelle, la surcharge de travail et les dysfonctionnements outils. En 2020, c’est la charge de travail et les dysfonctionnements outils qui sont en tête.

La manque d’agilité organisationnelle a disparu, mais il ne faisait pas partie des questions !

L’item Le temps de transport entre votre domicile et votre lieu de travail a même augmenté passant de 20 % à 26 %.

 

Deuxième constat, la satisfaction au travail connait une hausse générale, sur la plupart des items, mais en regardant de plus près les résultats, on se rend compte que le télétravail est un élément majeur de satisfaction au travail pour de très nombreux salariés. Ce sujet revient à de multiples reprises dans les verbatims et souvent en tête …

Tassement des Classifications dans AXA France

Ce rétrécissement sur les classes 5 et 6 raréfie les perspectives d’évolution !

L’UDPA a dénoncé :

  • Le ghetto dans lequel sont enfermés les classes 1 à 4 faute de postes non-cadres en mobilité,
  • La réduction des perspectives d’évolution sur deux classes au lieu de 7 qui contribue largement au turn over des jeunes diplômés directement recrutés en classe 5 ou 6.

Environ 400 salariés d’AXA France (soit 3,5% de l’effectif CDI en activité) bénéficient chaque année d’une promotion en accédant à un poste situé une fonction de classe supérieure.

Le service d’accueil devant financer sur son budget d’augmentation le changement de classe d’une arrivée en mobilité, la quasi totalité des changements de classe est effectuée lors des comités de raccordement. En clair les chances d’aboutir sur une mobilité vers un poste de classe supérieure sont proches de zéro !

Comité de raccordement : Ils se réunissent d’août à octobre. Pendant cette période les lignes managériales argumentent face aux décideurs de la DRH pour justifier leurs demandes de raccordement d’une fonction à une classe supérieure.

La préparation de ces comités est alignée sur les campagnes d’augmentations individuelles annuelles des mois de mai et juin, ce qui permet à la DRH d’éviter tout risque de dépassement des budgets.

La DRH attend désormais le terme d’une période d’adaptation concluante en général (6 mois à 1 an) pour augmenter le salaire, alors que les activités de la fonction de classe supérieure sont déjà réalisées et maitrisées depuis longtemps. C’est ce que la DRH appelle « traitement équitable » ! Pour l’UDPA il s’agit d’une pure escroquerie destinée à faire patienter les salariés pendant 6 mois à un an avant de verser l’augmentation salariale prévue par les accords.

L’UDPA continue de dénoncer les effets pervers de l’accord salarial d’AXA France qui oblige les services à financer les changements de classe au détriment des budgets d’augmentation individuelle.

Classe acquise : S’il n’y a pratiquement pas de mobilité sur une fonction supérieure, il y a eu 47 mobilités vers une classe inférieure en 2019. Le nombre de salariés en classe acquise reste constant à une valeur d’environ 350 salariés ; en effet les promesses de retour à la classe d’origine sont rarement tenues. De plus la DRH compare votre salaire avec celui de vos collègues raccordés à la classe inférieure ce qui réduit fortement les espoirs d’augmentation.

Bibliothèque des fonctions : elle contient les descriptions détaillées et le classement des fonctions issues du système de classification des Conventions Collectives Nationales de l’Assurance et de l’Inspection. L’UDPA a obtenu qu’elle soit plus accessible dans l’espace RH de One.

Télétravail : Bilan d’étape.

L’UDPA  rappelle ses revendications !

à ce stade de la négociation, la Direction concède uniquement les points suivants :

  • Une seule formule à deux jours par semaine pour les statuts « cadre » et « non-cadre ».
  • Possibilité de poser des ½ journées de télétravail,
  • 2 jours hebdomadaires de télétravail possibles seulement à partir de 80% d’activité,
  • Indemnisation forfaitaire de 20€ pour l’ensemble des surcoûts supportés par les salariés !
  • L’UDPA exhorte la Direction à saisir cette opportunité de démontrer toute la confiance accordée à ses salariés pour qu’ils s’organisent dans le télétravail comme l’incite lui-même, T. Buberl. Il serait dommage que les organisations majoritaires se jettent trop tôt sur le stylo et tuent dans l’œuf de véritables négociations
  • Nos revendications pour un télétravail adapté aux contraintes et indemnisé.

 

 

Télétravail : retour à la raison ?

Sous la pression de l’UDPA et de l’actualité, la Direction revient à la table de négociation !

Comme le disait Winston Churchill « il n’y a aucun mal à changer d’avis. Pourvu que ce soit dans le bon sens. »

L’UDPA est ravie de constater que la Direction et les organisations signataires ont ENFIN entendu la voix des salariés dont l’UDPA s’est fait l’écho depuis la finalisation du précédent accord dont elle n’était pas signataire.

Espérons que l’expérience permettra à chacun de construire un accord incluant une prise en compte des besoins en  matériels nécessaires et d’indemnités.

Le confinement précédent et le professionnalisme exemplaire des salariés durant cette période, ont amené la Direction à réfléchir : La position de Thomas Buberl, plus progressiste que la Direction d’AXA France sur ce sujet, a probablement aidé aussi !

Pierre CLERC

Délégué Coordinateur Syndical de l’Etablissement CSE APIE

Négociation sur les salaires à la RSG

Comme chaque année à cette époque, vos élus de l’UDPA négocient l’accord sur les salaires au niveau de la RSG (Représentation Sociale Groupe). Il s’agit de négocier le montant global de l’enveloppe dévolue aux Augmentations Générales et Individuelles qui seront versées en 2021.

Cet accord est ensuite démultiplié dans toutes les entités d’AXA en France, et donne lieu à des négociations locales.

D’expérience, les directions de toutes les entités, ne modifient pas les conditions de l’accord RSG, ou alors tres à la marge.

L’UDPA a lu la déclaration suivante lors de la première séance de négociation qui s’est déroulée hier, en présence des 3 syndicats représentatifs (cfe, cfdt et UDPA) et de la direction conduite par Didier Aujoux qui représente à cette instance les directions de toutes les entités d’AXA en France (périmètre RSG).

Suite à cette déclaration, Didier Aujoux nous a avoué qu’il n’avait pas encore le mandat de la direction pour négocier cet accord, et que cette première réunion avait pour objectif principal que de respecter le calendrier légal.

Gageons que M Aujoux a désormais des élements factuels et des arguments solides pour obtenir un mandat favorable aupres de la direction. A priori, la négociation devrait reprendre en début d’année prochaine, la direction souhaitant attendre que les résultats 2020 soient publiés.

Nous vous tiendrons régulièrement informé de l’avancement de ces négociations dans les mois à venir.

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La déclaration de l’UDPA lue en début de séance

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« Bonjour à tous,

C’est toujours un plaisir de se retrouver « autour de la table » pour cette négociation sur les salaires.

Je dis « toujours un plaisir » car chaque année à peu près les mêmes personnes s’y retrouvent.

Alors cette année nous avons choisi de prendre la parole dès le début de la réunion, parce qu‘on commence à te connaitre Didier !

Une fois que tu es lancé , c’est dur de t’arrêter et d’expérience il nous reste peu de temps en fin de séance pour nous exprimer tant tu es un brillant orateur.

Comme nous nous attendons à ce que tu nous expliques comme chaque année

  • Que nous avons vécu une Année très difficile
  • Que l’année 2021 sera probablement très dure et en tout cas inconnue ou inédite
  • Tu vas aussi certainement nous expliquer que chez AXA , on a eu tellement de chance, car il n’y a pas de chômage partiel (Bon, remarque en passant : Les salariés ont continué à travailler alors que beaucoup d’entre eux auraient pu se déclarer en disponibilité pour s’occuper des enfants)
  • Tu vas surement aussi nous dire qu’on a eu tellement de chance d’avoir le versement aux bénéfices et intéressement, alors que les actionnaires ont perçu moins que prévu à Bon, on peut juste rappeler que l’actionnariat c’est un risque et donc comme toute prise de risque ce n’est pas garanti, alors que le versement aux salariés est un dû contractuel.
  • Tu vas surement nous expliquer très sérieusement qu’on a beaucoup de chance car AXA n’a pas programmé de licenciement suite à la crise COVID
  • Etc, etc

Nous aimerions dès à présent exprimer les faits suivants :

L’augmentation de salaire est un mécanisme de relance de la croissance et soutien de l’économie : AXA verse des centaines de millions pour soutenir les PME, c’est un effort réel qu’il faut reconnaitre, mais pour être cohérent : les grands groupes doivent aussi soutenir la consommation des ménages et donc augmenter les salaires.

Pour compléter le contexte général, un point sur l’Inflation :

Comme chaque année, nous souhaitons rappeler que l’indice utilisé par la direction n’est pas satisfaisant.

En effet, le mode de calcul de l’indice INSEE des prix à la consommation intègre notamment un calcul sur les produits manufacturés qui induit un biais que tout le monde connait ici et qui minimise l’indice. Nous considérons que c’est un indice calqué sur le « panier de la ménagère » qui doit être utilisé, pour refléter notamment l’indice de hausse des prix des produits frais de 7,6% en 2020.

A ce contexte général, nous souhaitons apporter les éléments suivants justifiants qu’un effort exceptionnel doit être fait sur les enveloppes d’augmentation qui seront versées en 2021 :

(1) D’abord la Performance et efforts exceptionnels comme l’ont expliqué Jacques de P et Thomas B à plusieurs reprises au cours des 6 derniers mois et rappelé par Thomas lors du Comité Européen de novembre :

Je cite Thomas :

« Des collaborateurs ont fait des efforts exceptionnels. Beaucoup n’ont jamais travaillé avec une telle intensité. J’ai demandé aux dirigeants du Groupe de faire des efforts pour reconnaitre ces efforts des salariés mais en utilisant les mécanismes de rémunération existant et en restant pragmatique. Ne pas inventer d’autres mécanismes ou augmenter la complexité déjà très élevée.»

Gageons cher Didier que tu auras à cœur de respecter les consignes de Thomas :

Les augmentations générales et individuelles doivent être le mécanisme à adopter pour récompenser les efforts des salariés en 2020. Il n’y a donc pas le choix : il faut prévoir dès à présent de maximiser l’enveloppe pour les Augmentations Générales et Individuelles par rapport à ce qui aurait pu être proposé par la direction dans le cas d’une année « normale ».

(2) Les résultats 2020 :

Thomas a également précisé au même Comité Européen, je cite :

« Toutes les entités ont compensé l’effet COVID , leurs résultats atteignant quasiment le niveau de l’année dernière. Sauf XL : pas moyen de compenser. En plus du COVID, bcp de CAT NAT , donc très mauvaise année. Doit recapitaliser XL pour assurer la solvabilité autour de 130%. Ce n’est pas recapitalisation pour éviter une faillite, mais pour garder la marge de solvabilité prévue pour XL. »

Alors ce qui est important vis-à-vis du sujet qui nous intéresse ici : Les résultats de toutes les entités du groupe sont revenus quasiment au niveau de l’année dernière.

Les salariés de la plupart des entités ont donc délivré un travail exceptionnel en arrivant à compenser les périodes de baisse d’activité liées aux phases de confinement sur tous les métiers traditionnels.

(3) Les surcouts assumés par les salariés pendant toute la période de télétravail obligatoire.

Rappel sur deux obligations importantes de l’employeur envers le salarié dans le cadre du contrat de travail qui sont : L’obligation de lui fournir un travail ainsi que les moyens de le réaliser. Il n’est pas recevable qu’un salarié doive engager des couts pour être à même d’effectuer son travail.

Or ça a été le cas pendant toute la période de télétravail obligatoire : les salariés ont dû supporter des surcouts pour pouvoir réaliser leurs missions.

Les surcouts sont de plusieurs natures :

  • Equipement du domicile pour travailler dans des « bonnes » conditions
  • Surcouts de chauffage, consommation électrique
  • Surcouts de frais de repas :

o La subvention cafétéria n’a pas été redistribuée aux télétravailleurs,

o Les prix de l’alimentation ont augmentés en 2020 ; les télétravailleurs n’ont pas eu d’autre choix que de manger à la maison, en n’ayant pas forcement le choix des commerces : des commerces de proximité plus chers que les hypermarchés en périphérie des villes rendus inaccessibles par le confinement.

(4) Enfin dernier point, Risque de retour de l’inflation compte tenu des dettes importantes des états européens

C’est un mécanisme classique pour baisser le poids de la dette d’un pays : le retour de l’inflation qui baisse mécaniquement le montant de la dette.

Comme personne n’a de boule de Crystal pour savoir quand les états risquent de relancer l’inflation, nous souhaitons que nos accords sur les salaires intègrent désormais une clause de revoyure pour être à même d’ajuster les enveloppes si une inflation forte apparaissait en cours d’année.

Voilà, désolé si j’ai été un peu long je vais passer la parole aux autres. Nous reprendrons la parole en cours ou fin de séance pour préciser nos revendications. Je vous remercie pour votre attention. »

 

Evolution des salaires AXA France : Dans la durée, les augmentations compensent à peine l’inflation.

Un cabinet de conseil externe a analysé l’évolution des augmentations entre 2019 et 2018.  La fréquence moyenne des augmentations ne permet plus de récompenser la compétence et la compétitivité du salarié.

Dans une démocratie basée sur le travail libre, les augmentations gratifient l’accroissement des compétences et/ou des responsabilités. Or, l’analyse faite par le cabinet Syndex montre que, dans la durée au sein d’AXA, les augmentations compensent uniquement l’inflation, et encore seulement les salariés n’étant pas « oubliés » par l’Entreprise.

En effet, en moyenne, un salarié est augmenté tous les trois ans.

Par conséquent, cette hausse triennale compense uniquement l’inflation cumulée sur trois ans et ne tient pas compte de l’accroissement des compétences et de sa productivité.

Bien entendu, les salariés entrés dans la cinquantaine sont bien plus mal lotis.

Hors promotion, 22% des salariés présents à l’effectif de décembre 2018 à décembre 2019 n’ont pas connu une revalorisation salariale (25% en 2018).

Aucune obligation de prendre les congés planifiés

L’UDPA a eu la désagréable surprise de constater que nombre de directions ne respectaient pas les directives du comité central où siègent Diane DEPERROIS et entre autres vos élus UDPA.

Elus qui lors du Comité Social économique Central d’octobre et novembre ont fait préciser à la direction les règles applicables sur la pose des congés.

Plusieurs alertes de votre part ont permis à l’UDPA d’interpeler des directions afin de rappeler ces réponses actées dans le procès-verbal du Comité Social économique Central.

La direction des relations sociales a dû aussi faire un rappel à l’ordre via mail.

 

Il est explicitement précisé que les reports restent possibles dans les règles habituelles de l’accord OATT (organisation et aménagement du temps de travail).

C’est-à-dire, pour rappel :

  • les JRTT et JRI doivent être pris avant le 31 décembre 2020,
  • les JRA doivent être pris avant le 31 décembre 2020, sachant que l’accord du 8 avril 2005 permet exceptionnellement de les prendre jusqu’au 31 mars 2021,
  • les CP doivent être pris avant le 31 mai 2021.

N’hésitez pas à contacter vos élus UDPA si vous souhaitez plus d’informations ou si vous rencontrez des difficultés

L’Observatoire de l’Evolution des Métiers de l’Assurance : Accès libre et gratuit pour tous les salariés de l’assurance

Pour tous ceux qui ont envie de suivre l’actualité et de se tenir au courant des transformations qui touchent le secteur de l’assurance, un site à (re-)découvrir www.metiers-assurance.org.

L’OEMA EN 3 QUESTIONS :

  1. Qu’est-ce que l’OEMA : une association loi 1901, travaillant en lien avec la FFA (Fédération Française de l’Assurance) et les organisations syndicales représentatives.
  2. Que fait l’OEMA : des études annuelles sur les métiers et sur la formation dans l’assurance (environ 147 000 salariés), des études plus ciblées sur les évolutions de certains métiers, en lien avec le digital, des informations sur les passerelles entre les métiers, des indicateurs annuels sur la mixité et la diversité etc.

A qui s’adresse l’OEMA : à tous, employeurs, salariés, étudiants, organismes de formation professionnelle… Le site est en accès libre.et c’est une mine de renseignements.