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Grands succès rencontrés par les académies

Les académies sont des parcours de formation internes et certifiants, qui font partie des dispositifs d’accompagnement à l’évolution des métiers. Elles permettent aux salariés de changer de filières.

Les académies existantes et le nombre d’académiciens en 2024 :

Test Academy Software Academy Collectives Academy IARD Academy
6 mois pour devenir Testeur 18 mois pour devenir Développeur 6 mois pour devenir Souscripteur Collectives 7 mois pour devenir Souscripteur ou Régleur
7 5 8 19

 

22% des académiciens ont plus de 50 ans. Ces académies ont concerné 79 femmes et 82 hommes. Depuis 2023, elles sont ouvertes à l’externe.

En 2024, 97 % des académiciens ont été certifiés.

En 2025, il n’y aura plus de nouvelles entrées dans les académies informatique, uniquement en IARD et Collectives. Selon la Direction, elles seraient victimes de leur succès et il est nécessaire de ménager un temps d’intégration des personnes dans leur nouveau poste.

Absentéisme : L’édition 2025 du datascope constate la poursuite de la hausse de l’absentéisme* qui passe à 4,5%

 

Le Datascope analyse des données issues du portefeuille client d’AXA france : tous nos assurés couverts en protection sociale complémentaire, soit 15% de la population salariée française.

Le constat est une augmentation des arrêts de 41 % en 5 ans, avec un allongement de la durée qui concerne principalement :

  • les cadres :  + 9% en un an, portée par la hausse de la fréquence de leurs arrêts de travail. Sur cinq ans, leur absentéisme a progressé de 50%,
  • les femmes : + 8 % et l’écart se creuse entre leur taux d’absentéisme et celui des hommes,
  • les séniors (+ de 55 ans) : +7% en un an.
Les troubles musculosquelettiques sont maintenant en seconde position pour les causes d’arrêts.

Les troubles psychologiques sont la première cause des arrêts de longue durée, sur des salariés de plus en plus jeunes.

*Taux d’absentéisme : nombre de jours d’inactivité divisé par le nombre total de jours calendaires (hors maternité, paternité, adoption) sur une période donnée.

 

Diane Deperrois déclare « il est donc urgent de développer la prévention en première ligne pour lutter contre le fléau de l’absentéisme». Pour l’UDPA, cette déclaration est à mettre en action dans AXA France.

L’UDPA réitère sa demande d’avoir une présentation du Datascope sur la population représentée par les salariés d’AXA France.

En se basant sur le rapport de la médecine du travail pour 2024, récemment présenté à vos élus (Service de santé groupe Ile de France qui couvre environ 11 000 salariés), l’UDPA constate les  mêmes tendances :

-augmentation des scores « Echelle de mesure du stress perçu » (PSS) qui devient supérieur au Benchmark, et en général, augmentation de tous les indicateurs RPS (Risques Psychosociaux) : score anxiété, dépression,

-analyse du psychologue du service de santé qui remarque que la problématique «intensité et temps de travail» (projets complexes, charge de travail intense..) reste le premier motif d’orientation,

-conclusion du rapport qui mentionne : « Pathologies principalement prises en charge et suivies par le service : « Santé mentale » et ajoute : « ressource psychologue insuffisante pour le service ».

L’UDPA rappelle qu’il est de la responsabilité de l’employeur de veiller à la santé des salariés. Les actions doivent être prioritairement des actions de préventions primaire. Typiquement, l’organisation du travail est en cause dans les problèmes de charges de travail, charge mentale … et cette organisation du travail est à la main de l’employeur.

 

Aide psychologique

Il existe un dispositif d’assistance psychologique gratuit ouvert à tous, et pour tout motif, qu’il soit privé ou professionnel.

Pluridis : Assistance accompagnement psychologique:  01.55.92.17.53

Alors que la santé mentale est un sujet de plus en plus prégnant dans l’entreprise, l’UDPA regrette qu’AXA France ait décidé la baisse du forfait accordé aux salariés qui passe de 10 à 5 séances.

Si des séances supplémentaires sont nécessaires, il faudra passer par la médecine du travail ou la RH. L’UDPA estime que cela pourrait être un frein pour certains salariés.

Le départ de la BU ALHIS hors des murs d’AXA France est confirmé

Le projet de transfert concerne :

  • 148 salariés d’AXA France Santé Collectives,
  • mais aussi 14 salariés des Fonctions Support, dont l’activité est aujourd’hui dédiée à ALHIS (conformité, juridique, finances, Risk management et RH).

L’objectif annoncé par la Direction est la simplification de la structure juridique au niveau de la division Santé du groupe, qui sera composée de plusieurs entités juridiques au sein d’une même gouvernance globale

Les conséquences sociales sont drastiques, car il s’agit d’un transfert complet des contrats de travail des salariés concernés vers la nouvelle entité AXA Health Solutions.

L’UDPA regrette que toutes les organisations syndicales n’aient pas voté l’expertise demandée sur le projet pour en appréhender tous les impacts.

Vos élus considèrent que ce projet apporte une modification importante des conditions de travail, avec potentiellement :

une diminution de la sécurité de l’emploi via la perte du statut de salarié Axa ?

  • une modification des avantages sociaux à la baisse ?
  • une réduction des perspectives professionnelles, du fait de rejoindre une structure beaucoup plus limitée en offres de repositionnement interne ?
  • une restructuration des équipes, ou réorganisation du fait des gains de productivité visés par le projet ?

Vos élus considèrent que le dossier présenté par la Direction est insuffisamment instruit et détaillé. Il ne répond pas à leurs interrogations légitimes quant aux effets du projet sur le cadre d’emploi et le cadre social.

Vos élus ont demandé la possibilité d’une clause de retour chez AXA France (2 ans à l’identique de ce qui avait été obtenu pour AXA Partners).

Vos élus réitèrent leurs demandes compte tenu de l’impact du projet sur un grand nombre de salariés et du manque de visibilité sur leurs droits et leur devenir.

Accident du travail en télétravail

 

Attention, la CPAM peut contester si l’accident se passe au moment où le salarié n’est pas censé se trouver sous l’autorité de l’employeur : par exemple, des horaires de travail atypiques non justifiés par un événement particulier ( séminaire …), une activité personnelle (sport, ménage, etc.).

2 décisions de cours d’appel considèrent que l’accident n’est pas un accident de télétravail si le salarié :

  • vient de sedéconnecter(ou de débadger, de pointer la fin de sa journée) ;
  • ou s’il ne se trouve pas sur son lieu de travail pendant son activité.

Mon Epargne Entreprise : L’application Easyprojet se transforme

Cette application permet de visualiser le panorama de votre épargne, qu’elle soit épargne d’entreprise / retraite, sur des dispositifs AXA ou hors AXA, en rattachant vos divers contrats, et en garantissant la confidentialité.

Ce qui est nouveau, c’est qu’elle  permet aussi de réaliser un certain nombre d’actes de gestion comme sur cape@si.

Lien vers l’application : www.axa-mon-epargne-entreprise.com

Les mises à jour sont visibles en temps réel sauf pour le fond de pension professionnel BCAC (vision annuelle à partir de mai prochain).

Acquisition des CP en arrêt maladie

Pensez à vous déclarer pour les arrêts antérieurs à 2023

Cela fait plusieurs mois que l’UDPA vous informe sur la loi DDADUE du 22 avril 2024, qui  permet l’acquisition de 2 jours de congés payés (CP) maladie par mois, pendant les périodes de maladie non professionnelle.

Le processus de réclamation à AXA France a été présenté à vos élus lors du CSE Central de février, et en voici les grandes lignes.

Pour les salariés ayant acquis des CP maladie sur 2023 / 2024, le calcul est fait de manière automatique :

  • Affichage dans Pléiades du nombre de CP maladie acquis sur 23/24 pour tous les salariés concernés présents à l’effectif.
  • 2 nouvelles pop-up d’alerte.
  • Communication individuelle par courrier postal.
  • 15 mois pour prendre ces congés acquis.

Pour les salariés concernés par des arrêts avant 2023, ils ne bénéficient pas de ce calcul automatique :

  • S’ils sont encore présents dans l’entreprise : délai de 2 ans à compter de la publication de la loi pour réclamer les congés acquis depuis 2009, soit jusqu’au 22 avril 2026.

Pour les arrêts antérieurs à 2016, il sera de plus nécessaire de retransmettre les justificatifs.

  • Pour les salariés dont le contrat de travail a pris fin avant l’entrée en application de la loi : rétroactivité de 3 ans, et prescription de 3 ans (les contrats rompus avant 22 avril 2021 ne sont plus éligibles)
Particularité de la loi pour les congés acquis avant le 22 avril 2024 : le rattrapage ne peut porter les CP à plus de 20 par an. L’UDPA estime que le délai de 15 mois pour la prise de ces congés peut s’avérer trop court en fonction de la situation des services concernés.

La loi permet à l’entreprise de prolonger ce délai.

Evolution au 1er janvier 2025 des Périodes d’adaptation

Il reste des « cas contraires »  qui ne sont pas conformes aux périodes d’essai actuellement inscrites dans la Convention Collective

L’accord groupe du 28/06/1999 sur les Classifications prévoit des périodes d’adaptations en cas d’évolution professionnelle. Depuis le 1er janvier, la période d’adaptation a été supprimée pour une promotion sur un poste déjà occupé par le salarié.

L’UDPA salue  cette décision. Il était temps !

L’UDPA demande que la période d’adaptation, prévue à l’article 6.2 de l’accord RSG sur les Classifications, soit revue dans sa globalité.

Pour l’UDPA, il paraît inconcevable de prévoir une période d’adaptation dans le cadre d’évolution professionnelle en interne supérieure à la durée de la période d’essai en cas d’embauche.

(l’accord prévoit par exemple une période d’adaptation de 12 mois pour les cadres  et 6 pour les non-cadres alors que notre convention collective limite cette durée à 4 mois pour les cadres et 2 mois pour les non-cadres, renouvelable 1 fois seulement).

Pour l’UDPA, la durée de la période d’adaptation doit être au maximum égale à celle qui est prévue pour la période d’essai. 

Assurance : à quand une offre tarifaire compétitive pour les salariés d’AXA ?

C’est un constat fait par beaucoup d’entre nous quant aux prix des assurances proposées par AXA France à ses salariés par le biais d’AXA Partenaires, il est possible de trouver moins cher à couverture égale en passant soit par des concurrents, soit parfois même par des agents AXA …

Pourtant, Guillaume BORIE, lors du CSE Central de mars 2024 avait acquiescé sur ce constat fait par vos élus :

« Sur la stratégie business, je partage tous vos propos sur les collaborateurs ambassadeurs. Nous ne sommes pas suffisamment ambitieux sur le sujet. ….. La qualité de service d’AXA Partenaires n’est pas au rendez-vous, les outils ne sont pas les bons, les effectifs ne sont pas toujours adéquats, nos offres commerciales ne sont pas adaptées. Le fait de maintenir la surprime pour la mensualisation est absurde vis-à-vis de nos collaborateurs. Il faut mettre bon ordre dans notre maison. Ce plan n’est pas prêt aujourd’hui. Nous y travaillerons cette année pour en récolter les fruits en 2025 et 2026. »

L’UDPA dit : dont acte ! Où en sommes-nous plus de 6 mois après ?

Quelles seront les bonnes résolutions d’AXA France en 2025 ?

Pour cette nouvelle année qui commence, AXA France prendra-t-elle enfin la mesure des préoccupations quotidiennes de ses salariés ?

La négociation sur les salaires a été pour le moins décevante. Pourtant de nombreux signaux s’allument dans la société française, et les salariés d’AXA France n’y échappent pas.

La Banque de France observe une augmentation du surendettement en 2024 avec une hausse de 10,8 % des dépôts de dossiers par rapport à 2023.

Selon une étude menée par le comparateur Les furets avec CSA Research, 22 % des Français sont à découvert chaque mois à partir du 16. Il y a un an, « le jour moyen était le 17 du mois ».

Est disponible aussi sur le site de l’association de consommateurs « Que Choisir » la démonstration que l’augmentation des   prix des produits de grande consommation (alimentation, hygiène-beauté, entretien …) est bien supérieure aux données officielles et que l’inflation serait en partie décorrélée de toute réalité économique

Une autre des préoccupations majeures des salariés concerne le télétravail.

Le signal envoyé par la Direction avec le dernier accord TLT (non signé par l’UDPA) est très mal vécu.

Cette inquiétude face au durcissement des règles du télétravail est visible sur le dernier Pulse : 10 % des verbatims concernent ce thème. Cela est certainement aggravé par le zèle de certains managers à exiger 3 jours de présence hebdomadaire sur site pour leurs équipes.

Un autre sujet de plainte des salariés que l’on retrouve aussi dans les verbatims du Pulse concerne encore et toujours la charge de travail.

L’UDPA est très sensible à vos préoccupations et elle poursuivra avec pugnacité ses actions en 2025, pour défendre vos intérêts et  toujours à vos côtés.

Vos représentants

  • photo de Frédéric Dortomb

    Frédéric Dortomb

  • photo de Sophie Casabonne

    Sophie Casabonne

  • photo de François Tixier

    François Tixier

  • photo de Valérie Bouillon

    Valérie Bouillon

  • photo de Ange Yannick Kombé

    Ange Yannick Kombé

  • photo de Hubert Laurioz

    Hubert Laurioz

  • photo de Fanny Melin

    Fanny Melin

  • photo de Michael Krahl

    Michael Krahl

  • photo de Cécile Kraps

    Cécile Kraps

  • photo de Jean-Michel Lubin

    Jean-Michel Lubin

  • photo de Pierre Mondy

    Pierre Mondy

  • photo de Pierre Fournier

    Pierre Fournier

  • photo de Sylvaine Hardy

    Sylvaine Hardy

  • photo de Jean-Pierre Vassard

    Jean-Pierre Vassard

  • photo de Elsa Michalet

    Elsa Michalet

  • photo de Eric Graziani

    Eric Graziani

  • photo de Eric Foulhac

    Eric Foulhac

  • photo de Fernando Jorge

    Fernando Jorge

  • photo de Nathalie Loustalot

    Nathalie Loustalot

  • photo de Vanessa Pereau

    Vanessa Pereau

  • photo de Manuel Rodrigues

    Manuel Rodrigues

  • photo de Ines Mahdjoub

    Ines Mahdjoub

  • photo de Christophe Sessiecq

    Christophe Sessiecq

  • photo de Xavier Boully

    Xavier Boully

  • photo de Gwenaele Regnier

    Gwenaele Regnier

  • photo de Guillaume Cauvin

    Guillaume Cauvin

  • photo de Gilles Bary

    Gilles Bary

  • photo de Hassan Akid

    Hassan Akid

  • photo de Yves Bretel

    Yves Bretel

  • photo de Katy Nativel

    Katy Nativel

  • photo de Julien Buisson

    Julien Buisson

  • photo de Corinne Marzolf

    Corinne Marzolf

  • photo de Yann Morvan

    Yann Morvan

  • photo de Frederic Rety

    Frederic Rety

  • photo de Murielle Phaure

    Murielle Phaure

  • photo de Michel Colin

    Michel Colin

  • photo de Yvane Ryckebusch

    Yvane Ryckebusch

  • photo de Yassine Khessouma

    Yassine Khessouma

  • photo de Nathalie Pacitti Diaz

    Nathalie Pacitti Diaz

  • photo de Sophie Dumas

    Sophie Dumas

  • photo de Emily Lambert

    Emily Lambert

  • photo de Magalie Imbault

    Magalie Imbault

  • photo de Michel Faget

    Michel Faget

  • photo de Caroline Vattier

    Caroline Vattier

  • photo de Christophe Rada

    Christophe Rada

  • photo de UDPA AXA Banque

    UDPA AXA Banque