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Smart Working – L’expertise d'accompagnement conforte l’UDPA dans ses conclusions sur le Smart Working. Stop à la la poursuite du déploiement en mode industriel

Une expertise sur le déploiement du Smart Working a été missionnée par vos élus du CSE Central.

Expertise réalisée par le cabinet ISAST pour leur donner un éclairage concernant les conséquences de ce mode d’organisation sur les conditions de travail des salariés d’AXA France.

Sur le déploiement du Smart Working, l’UDPA relève les points suivants dans les conclusions de l’expert :

  • Il exacerbe les enjeux déjà présents de concentration, qui par ailleurs constituent un sujet global pour les sites (les scores sont globalement bas), du fait du bruit et des déplacements sur les plateaux.
  • Suite à la période de covid, le collectif s’est fragilisé et il renforce la déstabilisation du collectif de travail.
  • Le télétravail est même qualifié de stratégie d’évitement du Flex office et des ambiances physiques de travail dégradées.

Sur l’outil « agenda partagé », les résultats sont peu probants. L’anticipation de réserver son poste de travail n’est pas ou peu suivie.

Au niveau  des espaces hybrides, des fauteuils, canapés … l’expert constate :

  • Qu’ils ne sont pas utilisés alors qu’ils ont été démultipliés sur tous les sites.
  • Leur ergonomie non adaptée à de longues périodes d’utilisation génère des risques liés aux Troubles-musculo squelettiques (TMS).
  • Leur positionnement au sein des open-spaces ou à proximité ne permet pas leur usage sans risque de gêner les collègues proches.

L’UDPA dénonce le déploiement en mode industriel du Smart Working, qui a été démultiplié sans tenir compte des spécificités des services ou de leurs réels besoins.

L’UDPA regrette que la Direction ne soit pas dans une  démarche de compréhension des situations délicates ou de réticences pour tenter de trouver des solutions d’adaptation et ainsi veiller au bien être des salariés.

L’UDPA dénonce la méthode et demande à la direction de s’expliquer

L’UDPA a pris connaissance avec surprise des préalables du rapport d’expertise.

L’expert informe l’instance qu’il « regrette de ne pas avoir pu déployer la méthodologie qu’il estimait nécessaire pour répondre à la demande initiale des représentants du personnel, et d’être contraint de formuler une réponse qu’il juge partielle 2 ans après son mandatement ».

Il ressort que l’’expert n’a pas obtenu de la Direction centrale d’AXA France les informations lui permettant de déployer l’enquête qu’il avait élaborée.

L’instance du CSEC n’a eu aucune explication de la part de la direction de cette inaction, malgré ses demandes.

L’UDPA prend acte de la réticence et non réponse de la direction d’AXA France, alors que le Smart Working est un sujet majeur pour le groupe AXA.

L’odyssée de l’espace - VDF suite

L’UDPA demande à la Direction de ne pas répéter les erreurs faites lors des précédents déploiements du Smart Working

La Direction a décidé de conserver des espaces de travail sur le site des Fontaines. Elle prévoit des travaux de modernisation et le passage du site en Smart Working. Ce site deviendra multi-entreprises, mais les plans d’implantations des postes ne sont pas encore définis.

L’UDPA rappelle les conclusions de l’expert du CSE Central sur le smart working et en particulier «  Le déploiement du Smart Working exacerbe les enjeux déjà présents de concentration, qui par ailleurs constituent un sujet global pour les sites (les scores sont globalement bas). Du fait du bruit et des déplacements sur les plateaux »

 

L’UDPA sera vigilante au déploiement du smart working au sein de VDF. Maintenir le site ne doit pas se traduire par une  réduction drastique des espaces et une dégradation des conditions de travail des salariés.

 

L’UDPA s’interroge sur la  pérennité des services avec les nouveaux aménagements. Les baux tels que prévus permettent à AXA France, si elle le souhaite de rendre encore 50 % des surfaces restantes dans les 6 ans.

 

 

 

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Le salarié acquiert des droits à congés payés même pendant un arrêt maladie.

C’est ce qui ressort de récents arrêts de la Cour de la cassation qui mettent en conformité le droit français avec le droit européen en matière de congés payés et d’arrêts maladie. Ces changements sont immédiatement applicables.

Jusqu’ici, pendant un arrêt de travail, l’absence du salarié ne lui permettait pas d’acquérir des droits à congés payés, sauf si des dispositions conventionnelles le prévoyaient, comme à AXA où n’y a plus d’acquisition de congés à partir du 91° jour d’arrêt de travail

La directive européenne 2003/88/CE du 4 novembre 2003 prévoit que le salarié continue à acquérir des congés même lorsqu’il est en maladie, quelle que soit l’origine de cette maladie, professionnelle ou non. Le droit français ne s’était pas mis en conformité avec cette directive.

Depuis l’arrêt rendu par la Cour de Cassation le 13 septembre 2023, le salarié en arrêt maladie peut donc acquérir de nouveaux droits à congés payés, comme s’il avait travaillé, cela sans limite de temps concernant la durée de l’arrêt.

Cette décision s’appliquerait non seulement aux arrêts futurs, mais aussi à ceux en cours ou passés.

L’UDPA ne doute pas qu’AXA se mettra rapidement en conformité avec cette nouvelle décision.

Jours de pont pour 2024 et 2025

L'UDPA vous souhaite une bonne rentrée professionnnelle

C'est la rentrée

L’UDPA adresse toutes ses pensées à nos collègues Marocains, aux victimes du séisme, à leurs familles et proches.

L’UDPA demande au groupe AXA  de faire preuve de solidarité envers les salariés en France d’origine marocaine qui vont devoir sans doute aider leurs proches en grande détresse.

L’UDPA, en cette rentrée meurtrie, conserve plus que jamais la résolution d’aider et de faciliter la vie des salariés du groupe AXA et de la branche Assurance.

D’ici la fin de l’année, nos agendas seront bien remplis :

-la négociation sur les salaires va s’ouvrir très tardivement en novembre, ce qui ne présage pas de revoyure pour 2023 !

– la négociation de notre contrat prévoyance santé est toujours en cours et a pour enjeu de contenir les augmentations de cotisations,

– des réflexions sur les fonds de pension sont prévues au niveau de la branche Assurance,

– un chantier important s’ouvre concernant la réécriture  de la Convention Collective Nationale Assurance. Sujet sous haute surveillance car la convention est le dernier socle de règles favorables aux salariés !

Bref, une rentrée haute en couleur où l’UDPA sera l’interlocuteur à tous niveaux!

 

Patricia  Dumas

Elue CSE

Négociation Accord Aidants familiaux

Des avancées, l’UDPA est signataire

Ce dispositif existait à AXA France, mais n’avait pas été généralisé au niveau de toutes les entités du groupe AXA en France (RSG).

C’est maintenant chose faite avec un accord cadre définissant les mesures minimales s’appliquant à toutes les entités de la RSG.

Ce texte apporte quelques améliorations par rapport aux accords existants à AXA France et AXA GO, en particulier l’augmentation du nombre de demi-journées d’absences autorisées.

La Direction n’a hélas pas repris la proposition de l’UDPA de créer un fonds de solidarité pour le don de jour de congés.

L’UDPA portera de nouveau cette revendication lors de la négociation à venir de déclinaison de cet accord au niveau AXA France.

RSG : représentation syndicale du groupe AXA en France

Les entreprises du périmètre de la RSG sont nécessairement des filiales directes ou indirectes du Groupe.

Les organisations syndicales habilitées a négocier sont celle représentatives au niveau du groupe AXA en France.

Les négociations concernent les garanties applicables au personnel de tout ou partie des entités du Groupe AXA en France, des accords et accords-cadres relatifs à des thèmes transversaux, appliqués ou déclinés ensuite dans tout ou partie des entreprises du Groupe AXA en France.

Mesure de la Qualité de Vie au Travail et résultats de l’enquête annuelle de mai 2023 AXA France

la direction continue simplement de  cocher des cases, mais reste en défaut sur la prévention primaire

D’année en année, la mesure de la Qualité de Vie au Travail (QVT) connait pour seule évolution le nom de l’enquête :  SCOPE, PULSE et maintenant Wittyfit.

Sur la durée, l’UDPA constate toujours :

  • qu’un nombre important de salariés expriment un stress élevé, entre 7 et 10 : 26% (24% en 2022) et 14 % sont en stress très élevé (8,2 à 10).
  • que la charge de travail reste jugée importante : 7,4 (7,3 en 2022) :
    • en particulier sur l’intensité du travail : 2,4,
    • les interruptions de tâches : 3,3,
    • la polyvalence : 3,5.
Indicateur de quantité perçue (concerne les questions sur le stress et la charge de travail)

  • 8,2 à 10 = insatisfait
  • 7 à 8,1 = peu satisfait
  • 5,1 à 6,9 = satisfait
  •  0 à 5 = très satisfait

Indicateur de satisfaction (concerne les autres questions)

  • 0 à 2,5 = insatisfait
  • 2,5 à 5 = peu satisfait
  • 5 à 7,5 = satisfait
  • 7,5 à 10 = très satisfait

 

 

 

Les plans d’actions issus de cette dernière enquête ne sont pas encore connus.

Par le passé, ces plans d’actions avaient peu satisfait l’UDPA, car ils étaient très peu orientés sur la prévention primaire, mais plutôt sur des actions palliatives une fois les dégâts causés, voire même, sur des actions difficilement reliables à des risques identifiés lors des enquêtes !

L’expert Syndex du CSE Central relevait d’ailleurs début 2023 que « les pistes d’actions choisies par la Direction sont en général portées vers le renfort des compétences des travailleurs pour faire face aux difficultés » souvent par des formations / e-learnings / sensibilisations.

Il ajoutait aussi  « il nous semble que des actions portant sur l’organisation du travail seraient aussi utiles », c’est-à-dire des actions en amont, pourtant largement ignorées dans les plans d’actions

L’UDPA le revendique : les plans d’actions doivent s’attaquer aux causes en priorité.

Pourtant, la Direction met rarement en place d’actions relatives à la charge de travail et à l’intensité du travail, et cela aussi, l’expert Syndex le soulignait.

L’UDPA demande dans le futur plan d’action, des « mesures permettant de lutter contre l’intensité du travail, les interruptions de tâches et le fait de devoir changer d’activité en fonction des contraintes du moment. »

 

 

Sobriété numérique : le Digiscore. Quelle communication, quel suivi ?

Les salariés d’AXA France ont découvert, presque par hasard un nouvel outil : le Digiscore. La communication sur ce nouvel outil censé nous aider à suivre et réduire l’impact de notre usage des mails, a été pour le moins discrète.

Le Digiscore est calculé sur le nombre de messages, leur volume et leur nombre moyen de destinataires.

L’UDPA fait remarquer que l’activité mail est en partie dépendante de l’activité métier exercée et que les 3 paramètres observés peuvent avoir de grandes disparités selon les salariés.

L’UDPA demande à savoir si une information régulière de l’évolution du Digiscore sera réalisée ?

AXA souhaite réduire l’empreinte numérique liée à l’envoi des emails et atteindre l’objectif RSE de baisse des emails fixé à 27% à horizon 2023.

L’UDPA soutient les initiatives visant à réduire notre empreinte numérique, mais sera vigilante à ce que cela ne se fasse pas au détriment de la santé des salariés.

L’UDPA demande s’il est envisagé, par exemple, de généraliser les communautés WhatsApp, d’inciter à l’utilisation des conversations Teams et autres fils d’échanges pour permettre la diminution des mails ?

Pour l’UDPA, cela peut accentuer la pression du fait de l’instantanéité des réponses attendues, et générer un risque accru de cyberdépendance.

Vos représentants

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    Xavier TIRACHE

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    Serge BONTEMPS

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    François TIXIER

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